Formats : ePub + PDF + Mobi/Kindle Sans DRM QUANTITÉ. En continuant sur le site vous acceptez l'utilisation de ce cookie. (cf schéma I3) Il en résulte alors des coûts de transaction importants, générés notamment par les renégociations périodiques des contrats étant dus à des événements non prévus. Théories et pratiques de la gouvernance d'entreprise Pour les conseils d'administration et les administrateurs Frédéric Parrat (0 avis) Donner votre avis. Les pratiques de gouvernance d’entreprise sont indissociables du concept même d’entreprise, dès l’instant que ce crée une dissociation entre les parties prenantes, détentrices de droits sur une entreprise, et mandataires sociaux en charge de la gestion de l’entreprise. Même si l’internalisation d’une activité présente moins de risques, elle implique des frais fixes très importants. à la gouvernance d'entreprise), la logique transactionnelle consiste à identifier, pour chaque partie prenante à la firme (travailleurs, financiers, etc. La seconde est liée à la difficulté de prévoir l’évolution de l’environnement. La théorie des coûts de transaction repose essentiellement sur l’interaction entre: La rationalité limitée et l’opportunisme des individus dont le niveau dépendra de trois facteurs d’environnement : incertitude, complexité et nombre de fournisseurs. 92, B. Coriat, O. Weinstein (2010), Les théories de la firme entre « contrats » et « compétences », Revue d’économie industrielle, n° 129, M. Ghertman (2006), Oliver Williamson et la théorie des coûts de transaction, Revue française de gestion, n° 160, A. Bounfour (1999), Externalisation des activités immatérielles, identité de l’entreprise et performance, Congrès AIMS. La fréquence : L’impact de la fréquence sur le choix de la structure de gouvernance est le suivant : Moins une transaction est fréquente, moins il est recommandé de la réaliser en interne. 14 Les attributs des transactions, en tant que déterminants des coûts de transaction, sont des éléments essentiels pour l’arbitrage entre les modes de gouvernance. La difficulté de mesure de la performance : Cet aspect a été introduit tardivement dans la théorie de la transaction. Réseaux, vol 15, n° 84. le lien . : Ce type de contrat permet de gérer des situations dans lesquelles deux entreprises sont fortement dépendantes. C’est en ce sens que la théorie des coûts de transaction a développé notamment la « corporate governance » traduit par la « gouvernance d’entreprise » ou encore le « gouvernement d’entreprise » définit comme « l’ensemble des règles de fonctionnement et de contrôle qui régissent, dans un cadre historique et géographique donné, la vie des entreprises » (Pastré, 1994). 1. Grâce à ce concept, la théorie des coûts de transaction est en mesure de rendre compte de l'existence de la firme dans une économie de marché. Les coûts de production de l’activité externalisée sont proches de l’activité internalisé. Voir la carte générale des théories en management des S.I. Les activités très fréquemment utilisées devront éviter d’être externalisées. Inscrivez-vous gratuitement à la Newsletter et accédez à des milliers des mémoires de fin d’études ! dominant en matière de gouvernance d’entreprise (Zingales, 2000). Voir aussi sur le site IS Theory une liste de références qui utilisent cette théorie en Systèmes d’Information : C. Abecassis (1997), Les coûts de transaction : état de la théorie. Elles sont soit internes et portent sur l'architecture et le fonctionnement de l'entreprise, soit externes et concernent la place et le rôle de l'entreprise dans l'organisation économique et sociale.Selon Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. B. Demil , X. Lecocq (2006), Neither market nor hierarchy or network: the emerging bazaar governance, Organization Studies, vol. * Les coûts de transaction sont les coûts de gestion de la structure de gouvernance. Les coûts de transaction sont faibles et ne nécessitent pas de mettre en place des mécanismes contractuels complexes. Otto Marie – Odile – Spécialité Logistique, Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Se distinguant de la théorie de l'agence qui privilégie la notion de conflits d'intérêts, la théorie des coûts de transaction retient la transaction comme unité d'analyse et la spécificité des actifs supports de la transaction, comme concept central (un actif est d'autant plus spécifique que son redéploiement vers un autre usage entraîne une perte de valeur importante), elle explique l'arbitrage entre dettes et capitaux … Une approche intégrée. Accueil » Théorie des coûts de transaction et des ressources: Faire ou Faire faire? En revanche, elle occulte des thèmes importants pour les managers comme le « cœur de métier » et les facteurs déclencheurs de l’externalisation. En outre, elle permet de comprendre les formes de gouvernancedes transactions. L’externalisation avec contrat classique : L’activité repose sur des actifs faiblement spécifiques et l’externalisation permet de bénéficier des économies d’échelles réalisées par les fournisseurs. Si les actifs utilisés sont peu spécifiques, l’incertitude n’impose pas le recours à l’externalisation. Dans un premier temps, nous définirons chacun des trois modes de gouvernance avant d'analyser les attributs des transactions et d'exposer la méthode de choix des modes de gouvernance pour économiser sur les coûts de transaction. Avant de détailler les caractéristiques associées à chaque modèle et d’en étudier les limites, nous présentons dans un premier temps les différents composants d’un système de gouvernance en nous appuyant sur la théorie de l’agence et la théorie des coûts de transaction. 1. En effet, l’articulation de ces deux éléments de la théorie permettent de révéler quatre cas : La théorie des ressources – L’externalisation stratégique, Remerciements de mémoire : exemples de remerciement, L’entreprise : rôle, définition et caractéristiques de PME, Exemples de remerciements travail tfe et rapport de projet, Le déroulement d’une mission d’audit : trois phases, La définition du marché et les caractéristiques du marché, Les objectifs de la gestion des ressources humaines, Caractéristiques du Marketing, le domaine du marketing, L’Internet: Définition, historique et applications, Remerciement rapport de stage et dédicace des rapports. Avec les TIC, vers plus d’externalisation ? D’une manière générale, il est vrai qu’une société possède une bonne connaissance générale des activités qu’elle réalise en interne. Pourquoi existe-il des entreprises et non pas seulement des marchés? Notre travail trouve son fondement théorique dans trois principales théories : la théorie d’agence, la théorie des coûts de transaction et la théorie de l’enracinement. En effet, plus le nombre de fournisseurs est limité, plus le fournisseur attitré est difficile à remplacer (même s’il se conduit de manière opportuniste). L’internalisation : Quand la spécificité des actifs, l’incertitude et la fréquence sont élevées, il est recommandé de ne pas externaliser. Les coûts de transaction s’assimilent à la somme des coûts engendrés avant le processus de fabrication d'un bien ou la fourniture d'une prestation de service, à laquelle on ajoute les coûts commerciaux. Do NOT follow this link or you will be banned from the site. ou bien avec les TIC, vers plus d’internalisation ? L'insuffisance de la vision simpliste de l'entreprise dans la théorie économique classique a suscité depuis vingt ans l'émergence de nouvelles théories de l'entreprise (lire Favilla d'hier). L’externalisation avec contrat néoclassique : A priori, le niveau de spécificité des actifs de ce type de contrat est assez élevé et suggère que les coûts de production d’une activité en interne sont de ceux des fournisseurs. La spécificité des actifs : Des actifs sont spécifiques lorsqu’ils ont été spécialement développés ou adaptés pour un usage particulier. Théorie des coûts de transaction et des ressources: Faire ou Faire faire? Néanmoins, cette connaissance tend à disparaître lors de l’externalisation et du transfert du personnel et des équipements. Néanmoins, une faible incertitude rend les risques de l’externalisation beaucoup plus supportable. Comme nous l’avons vu auparavant, lorsque le niveau d’incertitude est élevé, la rationalité des individus rend impossible la rédaction de contrat prenant en compte les éventuels aléas du futur. Ce concept a été repris par la suite par Williamson (1975), où la gouvernance est associée à une théorie des coûts de transaction qu’une entreprise se trouve en dilemme pour l’internalisation ou l’externalisation des opérations de sous-traitance. O. Williamson a reçu le « Prix de la banque de Suède en mémoire d’Alfred Nobel ». On a la théorie de l'agence, des droits de propriété, des coûts de transaction, et la théorie des conventions. Le lecteur souhaitant approfondir sa connaissance de cette théorie dispose depuis 1994 d'une 39,99 € Indisponible Téléchargement immédiat. L’objectif de cet article est de construire un modèle expliquant le rôle de la gouvernance d’entreprise dans les diversifications des entreprises suite à deux revues de la littérature. Le débat n’est toujours pas clos : voir l’incontournable numéro spécial de la revue Réseaux en 1997 (en accès libre). Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait. Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Le débat n’est toujours pas clos : voir l’incontournable numéro spécial de la, réduction des coûts de coordination sur le marché grâce à la connexion généralisée, moins de spécificité des actifs grâce à la globalisation, accès moins biaisé au marché grâce aux comparateurs et systèmes de recommandation, réduction des coûts de distribution physique par le e-Commerce, technologies bancaires décentralisées des «, à l’opposé, d’autres auteurs mettent en avant la réalité des nouvelles, Oliver Williamson (1981), The Economics of Organization, the. 54,50 € Livre numérique. Ajouter au panier Résumé. Source : D’après Williamson (1975) L’accent est également mis sur les documents formels. Le point de départ de Williamson et de la théorie des coûts de transaction est de postuler que toute transaction économique engendre des coûts préalables à sa réalisation : coûts liés à la recherche d'informations, aux « défaillances du marché », à la prévention de l'opportunisme des autres agents etc. 1.2.3.1 Fondements théoriques de la gouvernance d’entreprise. On porte moins d’intérêt aux documents formels. * La confier au marché- structure de gouvernance « marché » Il met l’accent sur le formel et intervient très peu sur l’aspect relationnel. Le débat est même aujourd’hui renouvelé dans le cadre de la « transformation numérique » (voir les Stratégies de rupture) : Voir les autres théories utilisées dans les stratégies des S.I. Exemple : spécificité des actifs humains, temporelle ….En effet, plus les actifs utilisés pour réaliser une activité sont spécifiques, plus il est conseillé de réaliser cette activité en interne et inversement En effet, ces derniers ont la possibilité de mutualiser les moyens de production entre leurs différents clients, obtenant ainsi des coûts de production inférieurs à ceux des entreprises intégrées. Les controverses en systèmes d’informations, 170 études de cas en Systèmes d’information, Outils de bibliographie et de cartographie, 16 formations et 4 référentiels de compétences en SI, 360 pages Wikipédia sur les Systèmes d’information, Théories des contrats, théorie de l’agence. La simple présence de nombreux fournisseurs potentiels suffit à se protéger contre l’opportunisme. La firme évolue en adaptant son architecture et ses frontières ; … Contrairement à la théorie des coûts de transaction qui retient la notion d’actif spécifique dans la relation qui lie les agents entre eux, la TPA fait appel à la notion de connaissance. Définie au départ par. gouvernance d’entreprise. Les modèles de gouvernance d’entreprise s’inspirent essentiellement des théories suivantes : La théorie des coûts de transaction : ‘Les coûts de transaction représentent les dépenses relatives aux transactions que réalisent les agents économiques.’ Cette théorie … gouvernance. Les justifications de la firme trouvent leur origine dans le souci de s'écarter le moins possible de l'optimum néo-classique, de ne pas perdre de valeur du fait des coûts de transaction ou d'agence, de l'imperfection des droits de propriété, mal délimités, insuffisamment protégés ou difficilement transférables. Il s’agit pourtant d’un élément crucial dans le cadre d’une opération d’externalisation.